Comprenez bien le 1er principe : "ce qui est d'égale nature est égal en droits". Autrement dit, je ne peux disposer de mon semblable (mon alter ego) comme un esclave, qu'après l'avoir déchu de son humanité et réduit à l'état de bien meuble, à l'état de PERSONNE ("NO-BODY"). Cette pratique qui consistait à écrire en lettres capitales des noms et prénoms des esclaves (comme sur chacune de vos pièces d'identité actuelles), permettait de déchoir l'être humain de son statut d'être vivant incarné de chair et de sang, libre et naturellement égal en droits. Dans le droit romain, cette pratique était connue sous le terme de capitis diminutio maxima et constituait la première étape administrative qui précédait la mise en esclavage des êtres vivants libres et naturellement égaux en droits. Ainsi, contrairement aux élites qui s'appliquent le droit légitime du vivant, les PERSONNES, autrement dit, les Peuples sont soumis au droit des PERSONNES, dans le système juridique dit "légal".
Aujourd'hui, c'est au travers des actes de naissance que cette mise en esclave est opérée, à l'insu des intéressés eux-mêmes, donc par le dol et la tromperie, sans recours au moindre consentement éclairé. C'est ce mécanisme que l'on désigne sous l'appellation de la fraude du nom légal ou fraude au certificat de naissance.    

Et le 2ème principe : "Le créateur a droit de vie et de mort sur sa création". Et c'est en vertu de ce principe, que moi président, je peux violer, vacciner de force, tuer, massacrer des PERSONNES, c'est à dire des créatures fictives créées par et au bénéfice de la République...en toute impunité.
Ainsi, à leur insu, les citoyens ne sont pas considérés comme des êtres vivants incarnés de chair et de sang, dotés d'une âme et d'une conscience, mais comme « morts et perdus en mer» dès l'âge de sept(7) ans, à qui l'on attribue un identifiant de l'entité fictive, non vivante et irréelle, créée par l'état et désignée par PERSONNES.
Ces PERSONNES correspondent en fait à des marchandises, d'où la fameuse déclaration: "L'être humain n'est pas une marchandise comme une autre" - Nicolas de Sarkozy. Cette PERSONNE identifiée et confondue à sa pièce d'identité (carte d'identité, passeport, permis de conduire,...), qui est propriété exclusive de l'état peut être dès utilisée comme un bien meuble dont l'état dispose de tous droits d'usus, d'abusus et de fructus. Comprendre la fraude du nom légal et agir en conséquence, pour sortir de la matrice, c'est la seule manière de faire tomber l'empire du mensonge et du crime organisé dans lequel nous vivons. Voici la porte d'entrée vers le monde nouveau !