19 avril

Ces crimes officiels de la République française en marche – épisode 2

Peuples du monde entier, aidons Joseph Ashu à obtenir justice et libération pour sa famille broyée et enchaînée par le rouleau compresseur du pedo-satanisme au sommet des états.
Amis du monde entier, disons non à ces crimes, ces sacrifices, la destruction volontaire de vies innocentes dans l'impunité totale garantie par la détention du pouvoir ;
Disons non à une cruauté qui doit écœurer toute personne qui se dit humaine, une cruauté jamais égalée auparavant. Les protagonistes faisant subir aux pauvres victimes femmes et enfants des supplices et un calvaire équivalent aux supplices des enfers.

The Story

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Joseph Nfongang Ashu affabule t'il ? 

Appel À LA SOLIDARITÉ 
ÉCOUTER SON HISTOIRE, IL EST SEUL FACE SES MONSTRES....
CA AURAIT PU ÊTRE VOS ENFANTS 
BEAUCOUP DISENT QU'IL AFFABULE VOUS ÊTES IMMONDES 
LÀ IL EST DEHORS SANS ARGENT , POUR LES GENS QUE ÇA VA TOUCHER 
ALLER ÉCOUTER SON HISTOIRE !


The Solution

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Beaucoup comme Joseph ont été ou sont victimes de ce type d'injustice dont l'extrême perversion rend le crime difficile à qualifier. Même les criminels ont des limites, pourquoi un tel acharnement ?
La malchance a voulu que le sort s'acharne sur cette famille. Et si c'était la vôtre ? Pensez à cela et battons nous ensemble pour que ce genre de crime cesse. Obtenir la justice pour cette famille serait une victoire de poids dans l'éradication de la pedo-criminalité et la préservation des vies innocentes des couches sociales fragilisées de la société.
En effet, ceux qui commettent ces crimes exploitent les failles du système en ciblant les personnes et les familles fragilisées. Et ils dissuadent ceux qui veulent s'opposer à leurs plans et qui viennent en aide aux victimes à cause de leur position intouchable, l'impunité constitutionnelle dont ils bénéficient et en utilisant tous les moyens de nuisance que leur confère leurs pouvoirs.
Il s'agit d'une réalité qui a dépassé la fiction. Cependant nous pouvons faire quelque chose, avec l'aide du tout-puissant, nous le quatrième pouvoir qui est en définitive le pouvoir ultime quoique ces élites pensent.

Joseph Nfongang Ashu affabule t'il ?

C'est dans une vidéo tournée devant le tribunal pénal international et publiée sur Facebook ce vendredi 04 juin 2021, que Joseph Nfongang Ashu explique son calvaire et son indignation face à l'injustice dont il est victime depuis le 17 mai 2017, date à laquelle, selon ses dires, ses fils ont été enlevés et violés en réunion par le roi Philippe IV d'Espagne, avant que ce dernier ne les offre en cadeau à E. MACRON, à la condition que les viols multiples soient perpétrés en présence du père et sous la protection des forces de l'ordre.

Il explique : "Mes fils ont subi, en ma présence, plus de 1000 fois des violations sexuelles, des tortures, les tabasses, les électrocutions à coups de taser,...depuis le 17 mai 2017. (...) Chaque fois que mes fils sont violés, c'est filmé car le roi doit voir.", explique t'il.

(Extrait d'un article video disponible en ligne : Exclusif!!! Emmanuel Macron accusé de viols en réunion sur enfants mineurs par un père de famille... Blackout total dans les médias officiels !!!)

Les faits

  • 2004 : Rencontre du couple Joseph Ashu et Marie Kaplee, à Valencia en Espagne
  •  Mars 2015 : décès de Marie Kaplee
  • Octobre 2016 : enlèvement et placement  des enfants(respectivement 11 et 9 ans)
  • 2017 : constat de la part de M. Ashu de violences sexuelles et maltraitance(électrocutions et tabassage martial) sur ses fils.

Les parties

  • Ashu Joseph né en 1980, 23 Août, de nationalité Camerounaise.
  • Marie Kaplee, née le 25 décembre 1976, compagne de Joseph Nfongang Ashu, de nationalité Nigérienne.
  • Joseph Nfongang Ashu jr : enfants nés le 30 octobre 2005 
  • Christopher Orock Ashu, fils cadet né le 23 juin 2007 

Dossier juridique :

2017 constat de la part de M. Ashu de violences sexuelles sur ses fils en sa présence (éléctrocutions et tabassage martial). L'incident principal sur le territoire espagnol s'est déroulé dans la nuit du 2 Mai 2017 dans l'immeuble n°110 de l'Avenue del Dr Peset Alexandre de Valencia à Valencia, Espagne. Les enfants ont été confiés à M. Sergio Andreu Ferrer Mafe, célibataire, désigné comme père adoptif par l'Etat Espagnol depuis Octobre 2016. Cet homme serait ami personnel du Roi, politicien dans le parti politique (dit compromis du castellon) et banquier à la banque de Bancaia, ainsi qu'entrepreneur.
Privation de liberté subséquente de M. Ashu en Espagne (2017), puis en France (Janvier 2019).

M. Ashu a subit de multiples arrestations en Espagne (une huitaine) pour des durées n'excédant pas 2 ou 3 jours et l'administration espagnole a tenté de le détenir en psychiatrie en Espagne, mais cela n'a conduit qu'à une rétention de deux semaines.
Ashu est patient en psychiatrie reconduit par trois fois sur le territoire français pour une durée de 2 mois minimum.

Deux fois à l'EPSAN de Brumath (janvier et octobre 2019) puis une troisième en novembre 2020 pour faits de manifestation devant le central de la police de Strasbourg après avoir manifesté de longs mois devant la CEDH.

Ashu a été libéré en l'absence de symptomes psychiatriques nécessitant son maintien en détention.
M. Ashu se dit victime de brimades et notamment de persécutions personnellement subies relativement à la torture de ses enfants (torture en sa présence et sa connaissance) pour de motifs de collecte de substance chimique (adrénochrome) produite par le corps humain lorsque soumis à un stress particulièrement violent et d'une durée suffisante à produire un échantillon viable.

Ashu sait ne pouvoir obtenir aucun soutien de la part des autorités localement compétentes en raison de son maintien en psychiatrie et la corruption des forces en présence.

Au-delà du péril pour sa propre existence, M. Ashu craint pour celle de ses enfants et leur développement (situation d'extrême désespoir provoquées par les tortionnaires à des fins de collecte d'adrénochrome) et leur maintien dans un système dont la perversité n'a d'égale que les intérêts économiques défendus par les tortionnaires de ses enfants ; l'adrénochrome [ C9H9NO3 ] étant connu comme la drogue la plus puissante du monde et ne peut s'obtenir que par la torture pour sa synthèse in vivo.

A sa connaissance, les violences ont continué jusqu'en milieu scolaire sur le territoire espagnol. Plus de 200 cas d'abus et au moins 30 dénonciations ont été rapportées au juge de guarde de Valencia. Certains voisins du couple ont même accepté une somme d'argent en échange de leur silence car les enfants étaient ramenés dans le bâtiment du couple Ashu pour subir ces violences, sous la menace de la garde espagnole, dans des appartements voisins de ceux du couple. Le syndicat de copropriété, pour calmer les tensions, affirmait l'ordre venir du roi et de son administration sociale. En Juin 2018, M. Ashu est victime de menaces téléphoniques (« Je suis le Roi et je vais te tuer, tu sais que j'ai le pouvoir de tuer ? ») pendant les séances de tortures de ses enfants dans l'appartement au-dessus du sien, loué pour l'occasion ainsi qu'un second. M. Ashu pense les abus filmés par les tortionnaires de ses enfants.

M. Ashu dispose en outre d'une vidéo attestant de la torture pratiquée sur ses enfants conséquemment à l'erreur manifeste d'appréciation commise par les autorités espagnoles lors de la soustraction de ceux-cis à sa garde. Cette vidéo est présentée sur sa page facebook, telle que publiée à l'époque par le journal El Pais dans son édition du 11 juin 2019. La vidéo serait tournée par le gardien légal des enfants suite à leur placement. L'histoire présentée par le journal est celle d'un jeune marocain du nom de Ilias, mort d'asphixie dans un centre de jeunesse dans la ville d'Alméria, après avoir pris contact avec la mère de ce jeune homme car ayant reconnu ses propres enfants, M. Ashu comprend qu'elle-même n'a pas reconnu son fils sur la vidéo et que celle-ci provenait d'une autre source car représentant l'un des enfant de M. Ashu, Christopher.

Les supplications de ses enfants, en sa présence comme sur vidéo, ont crée en lui un désarroi que nul ne peut parvenir à exprimer sans traumatisme psychologique subséquent. Les abus sur ses enfants en territoire espagnol ont continué jusqu'au 20 novembre 2018, date à laquelle il a quitté l'espagne, laissant derrière lui le bâtiment dans lequel ses fils avaient été torturés pour présenter son cas à Bruxelles devant le Parlement Européen.

Après deux semaines sur le territoire belge, il est parti pour Strasbourg (Alsace) le 6 décembre 2018.

Le 14 Décembre 2018, en présence du Président Emmanuel Macron en visite protocolaire à Strasbourg, M. Ashu s'est à nouveau retrouvé dans la situation d'entendre les supplications de ses enfants dans la gare de Strasbourg. En effet, ceux-ci étaient enfermés dans un bureau de la gare de Strasbourg, à nouveau en sa présence, et malgré lui. Sans pouvoir ni s'adresser à eux, ni intervenir en aucune façon.

La pratique répétée de détentions psychiatriques conduit à vider de sa substance la requête de M. Ashu et contribue à éteindre son action auprès des juridictions nationalement ou internationalement compétentes, et ce malgré la pleine présence d'esprit de l'intéressé et la cohérence de son récit.

M. Ashu a également perdu son conseil juridique au cours de la procédure, M. Nkossi Molefe ressortissant d'Afrique du Sud, établit dans la ville de Prétorie. Il a été rapporté à la famille de M. Ashu que M. Nkossi Molefe serait décédé dans un accident de la circulation avant que M. Ashu ne retrouve sa trace le 21 juin 2020 et ne comprenne que celui-ci s'était désaisi de l'affaire. M. Nkossi Molefe s'est désaisi de l'affaire suite à son voyage en Europe dans le cadre de l'affaire Ashu, il a également déménagé suite à cette affaire.

Les faits :




Résumé des défenseurs légaux

 
Affaire Joseph Ashu


Sur la procédure suivie


Rappel :
Les motifs de cette rétention de la part de l'administration espagnole sont le désœuvrement et l'apparente paupérité du père célibataire suite au décès de sa femme en Mars 2015.
Le problème résiderait pour les autorités espagnoles dans l'établissement de la filiation et non l'identité du demandeur. Les enfants reconnus ont des documents d'identité espagnols valides, livret de famille inclus, leur nationalité est nigérienne sur ces documents, par application du droit du sang (mère de nationalité nigérienne). Les enfants portent également le nom d'ASHU sur ces documents.

Moyens,
Sont visés les articles 3, 5, 6, 7 et 8 CESDHC

L'article 7 à titre liminaire, pas de peine sans loi pour le cas personnel de M. Ashu comme celui de ses enfants soumis à des sévices répétés aux fins d'extraction d'adrénochrome in vivo.
En raison de l'absence d'impartialité des juridictions nationales et en vertu du droit à un procès équitable tel que garanti par l'article 6§1 de la CESDHC. L'Etat espagnol a fait un usage disproportionné de prérogatives de puissance publique en soustraynt les enfants à la garde de M. Ashu et continué dans cette voie en ordonnant son placement en établissement psychiatrique (durée de deux semaines), voie dans laquelle s'est à la suite engagée l'Etat français au même titre. Et ce, en vue de diminuer les facultés contentieuses de M. Ashu dans le rétablissement de l'unité familiale.

L'interdiction de la torture et traitements inhumains et dégradants, sanctionnée à l'article 3 de la convention contribue à fonder la requête de M. Ashu en ce que lui-même comme ses enfants, à fortiori, ont connu des situations de violence physique et psychologique graves.

Le droit à la liberté et la sureté, à l'article 5 de la Convention ouvre la voie au rapprochement familiale en ce qu'il garantit à toute personne bénéficiaire de la Convention le jugement de son affaire dans un délai raisonnable par un tribunal tel qu'admis par la Convention. En outre cet article garantit le droit à réparation des dommages tel qu'évoqué ci-après.

Le droit au respect de sa vie privée et familiale, sanctionné à l'article 8 de la convention impose le maintien de la légalité dans l'ingérence faite en vertue de celui-ci. C'est au titre de la prévention des infractions pénales qu'agit M. Ashu ainsi qu'à la protection de la santé et la morale pour ses enfants.

L'article 46 de la convention relatif à la force exécutoire des jugements, permet de demander à la Cour de prendre sa décision définitive concernant le cas de M. Ashu et de ses fils, sans préjudice des éventuelles réparations dûes aux plaignant.

Sur le fond,
La cherche le rassemblement familial est rendue nécessaire afin que M. Ashu retrouve la plénipotentiarité de ses droits sur ses enfants et leur permette un épanouissement dans un cadre décent et serein avec un père qui n'a eu de cesse que de retrouver ses enfants depuis leur enlèvement par l'administration espagnole Octobre 2016. Le motif de ce rapprochement est premièrement de faire cesser les infractions pénales constatées sur la personne de ses enfants comme, en second lieu, de rechercher la responsabilité des autorités nationales étatiques dans l'occurence de ces dommages.

Le constat de violences et mauvais traitements sera utilisé comme soutien à la requête de M. Ashu. Il est demandé le rapprochement familial dans l'intérêt de l'enfant, à savoir les deux enfants de M. et feue Mme Ashu.
Le droit à la santé et l'interdiction du trafic d'organes et produits ou sous-produits du corps humain, telle que reprise en droit français (code civil, code de la santé) vient au soutien de sa requête en rapprochement familial.

Le règlement amiable n'est pas envisageable dans le cas d'espèce en raison de la gravité des faits et de l'importance des dommages causés aux victimes.

Enfin, le droit au respect de sa personne ainsi que celle de ses enfants, l'interdiction de la torture et des traitements inhumains et dégradants, y compris l'humiliation viennent au soutien de sa demande.

P.s. La victime ne bénéficie plus de sa défense légale.


Mots clés :

Justice pour "Petit Joe"